Vincennes

Vincennes | |||||||||||||||
![]() Le château de Vincennes. |
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![]() Blason |
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Administration | |||||||||||||||
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Pays | ![]() |
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Région | Île-de-France | ||||||||||||||
Département | Val-de-Marne | ||||||||||||||
Arrondissement | arrondissement de Nogent-sur-Marne | ||||||||||||||
Canton | Vincennes Fontenay-sous-Bois |
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Intercommunalité | Métropole du Grand Paris EPT Paris-Est-Marne et Bois |
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Maire Mandat |
Laurent Lafon (UDI) 2014-2020 |
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Code postal | 94300 | ||||||||||||||
Code commune | 94080 | ||||||||||||||
Démographie | |||||||||||||||
Gentilé | Vincennois | ||||||||||||||
Population municipale |
49 695 hab. (2013) | ||||||||||||||
Densité | 26 018 hab./km2 | ||||||||||||||
Géographie | |||||||||||||||
Coordonnées | 48° 50′ 52″ N 2° 26′ 21″ E / 48.8477777778, 2.4391666666748° 50′ 52″ Nord 2° 26′ 21″ Est / 48.8477777778, 2.43916666667 | ||||||||||||||
Altitude | Min. 47 m – Max. 69 m | ||||||||||||||
Superficie | 1,91 km2 | ||||||||||||||
Localisation | |||||||||||||||
Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France |
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Liens | |||||||||||||||
Site web | vincennes.fr/ | ||||||||||||||
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Vincennes est une commune située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France, à l'est de Paris.
Elle doit son nom au bois de Vincennes situé au sud de la ville, devenu propriété de la mairie de Paris. Vincennes est célèbre pour son château, longtemps demeure royale. C'est la deuxième commune la plus dense de France derrière Levallois-Perret. Depuis 2011, la commune a lancé un grand plan de réaménagement urbain, se nommant « projet de ville », visant différents quartiers de la ville.
Sommaire
- 1 Géographie
- 2 Urbanisme
- 3 Toponymie
- 4 Histoire
- 5 Politique et administration
- 6 Population et société
- 7 Économie
- 8 Culture locale et patrimoine
- 9 Pour approfondir
- 10 Notes et références
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
La commune est située dans le département du Val-de-Marne, en Île-de-France, dans la banlieue est de Paris. Elle est notamment bordée par deux ensembles plus de quatre fois plus grands qu'elle : au nord, Montreuil et au sud, le bois de Vincennes, sous administration du 12e arrondissement de Paris.
À vol d'oiseau, le centre-ville est situé à 7,0 km de l'île de la Cité, au centre de la capitale[1].
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
La superficie de la commune est de 191 hectares, soit 1,91 km² ; l'altitude varie entre 47 et 69 mètres[2].
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Climat[modifier | modifier le code]
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Voies routières[modifier | modifier le code]
En venant de Paris, on entre dans la ville par l'avenue de Paris qui relie le centre ville à la porte de Vincennes. En venant de l'est, par exemple de l'autoroute A4, on y entre par cette même avenue après avoir traversé le bois et emprunté l'avenue de Nogent.
Pistes cyclables[modifier | modifier le code]
Vincennes est équipée de bandes et pistes cyclables ainsi que d'arceaux de stationnement destinés aux vélos. Depuis 2009, dix stations Vélib' (huit simples et deux doubles) ont été installées dans la ville.
Transports en commun[modifier | modifier le code]
Vincennes est traversée par plusieurs modes de transport ferroviaire, le métro et le RER. Elle est desservie par trois stations de métro de la ligne 1 dont une est le terminus, et par une gare située sur la ligne A du RER. La majorité des lignes de bus desservent le terminus de la ligne de métro :
- ligne 1 du métro : Saint-Mandé, Bérault et Château de Vincennes ;
- ligne A du RER : Vincennes ;
- réseau de bus RATP : 46, 56, 112, 114, 115, 118, 124, 210, 215, 318 et 325 ;
- Noctilien : N11 et N33.
Un projet de prolongement de la ligne 1 du métro est envisagé jusqu'au carrefour des Rigollots, à Fontenay-sous-Bois, puis potentiellement à long terme jusqu'à Val-de-Fontenay, en interconnexion avec les lignes A et E du RER.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]
La commune se compose de sept quartiers : Saint-Louis, Vignerons, République, Sorano, Centre-ville, Diderot et Domaine du bois.
Logement[modifier | modifier le code]
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 27 102, alors qu'il était de 26 148 en 1999[a 1].
Parmi ces logements, 90,5 % étaient des résidences principales, 3,0 % des résidences secondaires et 6,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 4,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 93,7 % des appartements[a 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 48,1 %, en hausse par rapport à 1999 (43,8 %). La part de logements HLM loués vides n'était que de 7,6 %, en légère augmentation toutefois par rapport à 1999(6,3 %)[a 3].
Projets d'aménagements[modifier | modifier le code]
Le « Projet de ville »[modifier | modifier le code]
Le « Projet de ville » est une vaste opération d'aménagement urbain qui a pour objectif d'embellir le cadre de vie de trois quartiers de la ville (centre-ville, places Diderot et Renon) en construisant « la ville de demain » tout en restant fidèle au charme, à l'identité et à l'histoire d'une ville d'histoire et de culture. Les premiers coups de pioche ont été donnés en mai 2011. La place Diderot a été inaugurée en juin 2012, devenue zone 30 elle offre un nouvel espace de vie conçu pour concilier vie du quartier, organisation du marché et animations[3].
Protection phonique du RER A[modifier | modifier le code]
Les travaux de couverture des voies du RER se sont déroulés de début 2004 à mai 2006. Trois jardins ont vu le jour sur les zones concernées par une couverture complète, pour chacune sur une distance d'environ 100 mètres : le jardin du Levant, à l'ouest du pont de la Pépinière ; le jardin du Midi, à l'est du cours Marigny et le jardin du Couchant, à l'ouest du pont de l'avenue de la République.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le toponymiste Ernest Nègre cite les formes Vilcenna en 856, Vulcenia en 1134, Vicenna et Vincenna en 1158, Vilcenia en 1183, Vilcena en 1190 et Vicena en 1195[4].
Histoire[modifier | modifier le code]
Vincennes, ville royale[modifier | modifier le code]
L'histoire de Vincennes est étroitement liée à l'histoire de son bois et de son château. Elle débute véritablement au XIIe siècle, lorsque Louis VII choisit la forêt de Vilcena comme terrain de chasse et y fait aménager un pavillon de chasse.
En 1373, alors que le château est encore en construction, Charles V fait aménager dans son prolongement, une basse-cour destinée aux logements des domestiques royaux. Au pied de celle-ci s'est développé le hameau de La Pissotte, un petit village situé au niveau de l'actuelle rue de Fontenay. En 1667, Basse-cour et Pissotte sont réunies en une même paroisse qui prend le nom de La Pissotte. En 1787, une réforme administrative installe une communauté d'habitants qui prend le nom de municipalité de Vincennes. Dans leur cahier de doléances de 1789, les Vincennois se plaignent de l'exiguïté du territoire. Durant la période révolutionnaire, Vincennes se voit attribuer 238 hectares comprenant le château et son jardin ainsi que le Petit-Parc et une partie du bois. Puis en 1829, une ordonnance royale détermine le nouveau territoire de la ville : 94 hectares, aux dépens de Montreuil et Fontenay-sous-Bois sont alloués à la commune.
La présence militaire dans le château (depuis 1796), et les importants casernements installés dans le bois, ainsi que le développement urbain avec l'ouverture en 1859 de la ligne de chemin de fer et l'aménagement d'une partie du bois en parc public, favorisent l'essor démographique de la commune qui passe de 4 800 à 31 400 habitants entre 1851 et 1901. L'expansion démographique se poursuit avec le réseau de transports qui s'enrichit (tramways, omnibus puis bus, l'arrivée du métro en 1934, et la transformation du chemin de fer en ligne RER A en 1969).
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[5], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d'un transfert administratif effectif le .
La commune était divisée depuis la création du département entre les cantons de Vincennes-Ouest et de Vincennes-Est. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est divisée entre les cantons de Vincennes et de Fontenay-sous-Bois.
Vincennes relève du tribunal d'instance de Nogent-sur-Marne, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et de la cour d'appel de Paris, ainsi que du tribunal administratif de Melun et de la cour administrative d'appel de Paris[6].
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[7],[8].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées
La commune fait donc également partie depuis le de l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[9] créé par un décret du 11 décembre 2015[10].
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Administration municipale[modifier | modifier le code]
Le nombre d'habitants étant compris entre 40 000 et 49 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 43[11].
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Six maires se sont succédé depuis 1944 :
Politique environnementale[modifier | modifier le code]
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Engagée dans une démarche d'éco-responsabilité depuis 2006, la ville a officiellement lancé en avril 2009, sa démarche globale de développement durable concrétisée par l'Agenda 21. Adopté par le conseil municipal en décembre 2010, l'Agenda 21 est un programme d'actions comprenant des propositions touchant à l'environnement, l'économie et le social, les domaines des transports, de l'énergie, de l'habitat, de la qualité de vie...
Quelques-unes des actions mises en place dans le cadre de l'Agenda 21 :
- Depuis 2009, les commerçants qui vendent des produits biologiques sur les marchés sont identifiables grâce à un macaron
- Plus de 50% des rues de la ville sont devenues des zones apaisées. Objectif : réduire la vitesse des véhicules et sécuriser le cheminement des piétons-
- Les horodateurs de la ville sont équipés de panneaux solaires
- Développement des pistes cyclables
- Développement du compostage des déchets verts
- Installation de ruches afin de contribuer à la préservation de la biodiversité de l'environnement
- Mise en place d'une Charte 21, plan d'actions pour une administration plus éco-responsable
- Création de toitures végétalisées sur certains bâtiments. Elles permettent une meilleure isolation du bâtiment et contribuent à freiner les restitutions des eaux pluviales dans les réseaux.
Jumelages[modifier | modifier le code]
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La ville de Vincennes est jumelée avec quatre villes d'Europe et une ville homonyme d'Amérique du Nord.
Castrop-Rauxel (Allemagne)
Lambeth (ville) (Royaume-Uni)
Montigny-le-Tilleul (Belgique)
Tomar (Portugal)
Vincennes (États-Unis)
Vincennes est également la marraine de guerre de deux villes qui furent quasiment détruites durant les deux conflits mondiaux, et qu'elle a aidé à reconstruire :
- Vorges, commune située dans l'Aisne
- Condé-sur-Noireau, commune située dans le Calvados
Labels[modifier | modifier le code]
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Vincennes est une ville labellisée :
- la ville a obtenu le label « Ville d'art et d'histoire » en janvier 2012
- depuis 2010, la ville est récompensée par le label « Ville Internet @@@@ »
- en 2009, la ville a obtenu une troisième fleur pour son label « Ville fleurie »
- la ville a reçu en 2008, de l'UNICEF le label « Ville amie des enfants »
- Vincennes est également une ville handiengagée
- C'est également une ville ludique
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
En 2013, la commune comptait 49 695 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de plus de 10 000 habitants ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[Note 1],[Note 2].
Enseignement[modifier | modifier le code]
Vincennes est située dans l'académie de Créteil.
La commune administre sept écoles maternelles et six écoles élémentaires communales et dispose de trois école élémentaires privées[22].
Le département gère quatre collèges[23].
La région Île-de-France gère cinq lycées :
- au sein de deux établissements publics : le lycée général et technologique Hector-Berlioz[24] et le lycée professionnel Jean-Moulin[25] ;
- et de trois établissements privés : l'établissement Claude-Nicolas-Ledoux « École du bâtiment et des travaux publics » (EBTP) regroupant un lycée général et technologique[26] et un lycée professionnel[27], l'établissement Gregor Mendel regroupant un lycée technologique[28] et un lycée professionnel[29] et le lycée général Notre-Dame de la Providence[30].
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
Les grands Rendez-vous[modifier | modifier le code]
- Janvier : Rencontres internationales du cinéma de patrimoine (festival de cinéma, les années paires)
- Février : Foulées de Vincennes (course à pied)
- Mars : Prix du bois de Vincennes à l’Hippodrome
- Mai : Semaine des photographes vincennois (en alternance avec la Semaine des peintres vincennois), festival Vincennes off (festival de musique et théâtre les années paires)
- Juin : Une toile sous les étoiles (cinéma en plein air), Fête du pain et de la boucherie, Course du château, Opéra en plein air dans le château, Fête de la musique
- Juillet : Animations sportives de plein air, Bal des pompiers
- Septembre : Festival America(festival de littérature américaine, années paires), Biennale d’art contemporain (années impaires), Journées européennes du patrimoine
- Octobre : salon de la ville (peinture)
- Décembre : patinoire et manèges, Village de Noël, Prix de Vincennes à l’Hippodrome
Outre ces grands Rendez-vous, la ville propose une saison culturelle (théâtre, musique, danse, jeune public). Tous les premiers dimanches du mois a lieu, esplanade Saint Louis du château de Vincennes, le plus grand rendez-vous d'amateur de voitures anciennes organisé par Vincennes en Anciennes.
Le festival America[modifier | modifier le code]
Tous les deux ans en septembre (années paires), Vincennes accueille le festival America. Seule manifestation européenne consacrée aux littératures et cultures d’Amérique du Nord, l’événement rassemble autour d’un grand salon du livre, un grand nombre de maisons d’édition françaises et étrangères. Cafés littéraires, débats et rencontres se succèdent dans toute la ville. Le festival propose également une sélection de films, des expositions ainsi que des concerts. Parmi les auteurs venus assister au festival on retrouve : Breat easton Ellis, Douglas Kennedy, Russel Banks, Toni Morrison, Jonathan Safran Joer, Jim Harrison, Luis Sepuilveda, Joseph Boyden ou encore Frédéric Beigbeider.
Les Rencontres internationales du cinéma de patrimoine[modifier | modifier le code]
En janvier, les années paires, les Rencontres internationales du cinéma de patrimoine mettent à l’honneur les chefs-d’œuvre du cinéma mondial. À travers des projections, des débats, des master classes et des expositions, les Rencontres permettent aux professionnels, lycéens, étudiants et cinéphiles de découvrir ou de redécouvrir des films remarquables préservés ou restaurés par de prestigieuses cinémathèques internationales. Les Prix Henri-Langlois, décernés chaque année en janvier, récompensent le travail et le talent de tous ceux qui œuvrent pour faire partager leur passion du cinéma et transmettre aux nouvelles générations la connaissance du patrimoine cinématographique. Parmi les lauréats, citons Sofia Coppola, Claude Lelouch, Roman Polanski, Ken Loach, Edouard Molinaro, Agnès Jaoui, Youssou N'Dour, Anouk Aimée, Sandrine Bonnaire, Claudia Cardinale, Clovis Cornillac, Michael Lonsdale, Philippe Noiret, Claude Rich, Hanna Shygulla, Omar Sharif, Catherine Frot…
Santé[modifier | modifier le code]
Sports[modifier | modifier le code]
La ville compte un parc des sports (trois stades), trois gymnases, un centre aquatique (ouvert depuis 2011), et quatre centres sportifs polyvalents : Georges-Pompidou, Hector-Berlioz, Parc-du-Château et Georges-Serre.
Équipements sportifs couverts[modifier | modifier le code]
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- Centre sportif Georges-Pompidou comprenant un gymnase (basket, volley, tir à l'arc, handball), la salle Joseph-Clouet (tennis de table, gymnastique) et la salle Louis-Foulon (escrime)
- Centre sportif Hector-Berlioz comprenant différentes salles répartie sur trois niveaux (gymnastique, boxe, basket, badminton, tennis de table, arts martiaux, judo, musculation et un mur d’escalade)
- Le gymnase du Parc-du-Château (badminton, basket, gymnastique rythmique sportive, volley, un mur intérieur d’escalade)
- Le gymnase de l’Est (basket, danse, gymnastique…)
- Le gymnase Paul-de-Benedetti (basket, gymnastique rythmique et sportive, tir à l'arc...)
- Le gymnase de l’Ouest (badminton, basket, gymnastique...)
- Le gymnase Louis-Georges-Serres (badminton scolaire, gymnastique au sol, gymnastique d'entretien, tennis de table, et une salle de motricité)
- Le Dôme, centre aquatique comprenant trois bassins (l’un de natation, un bassin d’apprentissage et une pataugeoire), un espace forme comprenant une salle de fitness, un spa, un hammam et un solarium.
Équipements sportifs extérieurs[modifier | modifier le code]
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- Le parc municipal des sports comprenant :
• Le stade Léo-Lagrange avec quatre terrains de football dont un terrain d'honneur, un terrain d'entraînement synthétique pour football et rugby, une piste d'athlétisme 6 couloirs, deux terrains de volley, deux terrains de basket, une piste de vélo-cross • Le stade Léon-Bonvoisin avec un terrain de rugby • Le stade Jean-Mermoz avec treize courts privés de tennis
- Le plateau sportif Louis-Georges-Serre comprenant un terrain d'éducation physique et sportive (EPS) et une piste d'athlétisme 5 couloirs
- Un centre équestre comprenant une carrière, un terrain d’évolution et trois manèges
- Le boulodrome du pavillon Armand lyonnaise, pétanque, jeu provençal, parisienne
- Après les jeux olympiques d'hiver de 1968, la vasque olympique qui se trouvait au Parc Paul-Mistral de Grenoble a été transférée au parc de l'institut national des sports de Vincennes jusqu'à octobre 1987, quand elle a été rapatriée à nouveau à Grenoble.
Les associations sportives[modifier | modifier le code]
Les associations qui sont très nombreuses, exercent leurs talents dans des domaines très variés : sport, humanitaire, culture, souvenir, jeunesse, social, vie des quartiers…
Médias[modifier | modifier le code]
Cultes[modifier | modifier le code]
Les Vincennois disposent de lieux de cultes catholique, israélite, musulman et protestant.
Culte catholique[modifier | modifier le code]
Au sein du diocèse de Créteil, le territoire de la commune dépend du secteur pastoral Vincennes Saint-Mandé qui regroupe deux lieux de culte : l'église Notre-Dame et l'église Saint-Louis[31].
Culte israélite[modifier | modifier le code]
La synagogue de Vincennes regroupe deux lieux de culte : une synagogue de rite ashkénaze (construite en 1907) et une synagogue de rite séfarade (construite en 2005).
Culte musulman[modifier | modifier le code]
La communauté musulmane malienne dispose d'un lieu de culte au sein du foyer malien[32].
Culte protestant[modifier | modifier le code]
La communauté dépendant de l’Église protestante unie de France dispose d'un lieu de culte[33].
Économie[modifier | modifier le code]
Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 37 746 €, ce qui plaçait Vincennes au 3 949e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[34].
Emploi[modifier | modifier le code]
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 33 948 personnes, parmi lesquelles on comptait 81,7 % d'actifs dont 75,6 % ayant un emploi et 6,1 % de chômeurs[a 4].
On comptait 17 490 emplois dans la zone d'emploi, contre 15 022 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 25 873, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 3] est de 67,6 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre deux emplois pour trois habitants actifs[a 5].
La municipalité incite les acteurs économiques à mettre en place des pratiques durables telle que la démarche RSE et soutient les filières économiques vertes. L'une des nouveautés[Quand ?] en matière d'emploi et de soutien économique est la mise en place d'un espace de co-working[Quoi ?].
La richesse artisanale de la ville est valorisée tous les deux ans à l'occasion du salon des métiers d'arts et par la participation des artisans aux Journées des métiers d'arts de la chambre des métiers et de l'artisanat du Val-de-Marne.
Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]
Au 31 décembre 2010, Vincennes comptait 5 269 établissements : 14 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 135 dans l'industrie, 271 dans la construction, 4 190 dans le commerce-transports-services divers et 659 étaient relatifs au secteur administratif[a 6].
En 2011, 652 entreprises ont été créées à Vincennes[a 7], dont 342 par des autoentrepreneurs[a 8].
Vincennes est un pôle économique actif contribuant à la vitalité du tissu locale[35]. Elle ne manque pas d'atouts : une position géographique stratégique, proche de Paris et notamment du quartier Bercy-Gare de Lyon, à mi-chemin d'Orly et de Roissy; une fiscalité modérée ; un environnement d'exception avec le château, la proximité du bois, des équipements publics de qualité et des commerces de proximité nombreux.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Outre son célèbre château, la ville propose aux visiteurs plusieurs bâtiments classés, tels que l'hôtel de ville et l'église Saint-Louis, mais aussi des édifices qui, d'un quartier à l'autre de la ville, méritent que l'on s'y attarde. Façades du XIXe ou de tendance Art déco, de nombreuses curiosités architecturales se côtoient dans les rues de la ville.
L'hôtel de ville[modifier | modifier le code]
Issu de deux opérations distinctes de construction réalisées à 44 ans d’intervalle, l’hôtel de ville illustre à la fois le style néo-Renaissance s’inspirant du modèle que constitua l’Hôtel de ville de Paris au début de la troisième République, et le style Art déco, remarquable par l’escalier monumental et la coupole en verre de 12,20 mètres de diamètre et de 30 tonnes, tous deux classés monuments historiques. En 1999, la Commission régionale du Patrimoine et des sites, a inscrit sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques l’ensemble des façades et toitures de l’hôtel de ville, des deux halls d’entrée, de la salle des Fêtes, de la salle des Mariages et du bureau du premier maire adjoint, situé à l’angle sud-ouest du rez-de-chaussée.
L'église Saint-Louis[modifier | modifier le code]
Conçue en 1912, par les architectes Jacques Droz et Joseph Marrast, l’église Saint-Louis présente une architecture originale de style néo-byzantin, caractéristique du renouveau de l’art sacré dans la première moitié du XXe siècle. Ses décors intérieurs sont le fruit du talent des artistes des Ateliers d’Art sacré : des fresques d’Henri Marret et Maurice Denis, un ensemble de céramiques de Maurice Dhomme, des sculptures de Carlo Sarrabezolles et des ferronneries d’art de Raymond Subes. L’église Saint-Louis a été classée monument historique dans sa totalité en 1996 par le ministère de la Culture.
Le bois de Vincennes[modifier | modifier le code]
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- Le Parc floral de Paris
- Le Parc zoologique de Paris
- L'L’hippodrome de Paris-Vincennes
- Le Palais de la Porte Dorée
- La Pagode de Vincennes
- Arboretum
- La Ferme de Paris
- Théâtre des marionnettes
- Théâtre astral
- Le Château de Vincennes.
- Éléments culturels de la ville de Vincennes.
-
L'Hôtel de ville et la statue dédiée à Pierre Daumesnil.
Espaces verts[modifier | modifier le code]
Vincennes compte onze squares et six jardins sur une surface totale de 116 766 m2, répartis dans tous les quartiers de la ville, ainsi qu'un patrimoine de 3 700 arbres de près de 60 espèces différentes[36].
En 2009, la ville a été récompensée par une 3e fleur au concours des villes et villages fleuris[37].
Chaque année depuis 2003, la journée du jardinier permet aux familles vincennoises de recueillir des conseils de la part des agents du service des Espaces verts pour bien entretenir leurs plantes et jardins.
Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]
Équipements culturels[modifier | modifier le code]
Équipements culturels[modifier | modifier le code]
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- L'Espace Daniel-Sorano, contenant un théâtre de 212 places et une salle permettant des projections de cinéma
- Un cinéma de quatre salles, Le Vincennes
- Cœur de ville regroupe une médiathèque, un conservatoire, un auditorium de plus de 300 places
- Trois bibliothèques de quartier
- Une salle de spectacles dans le centre culturel Georges Pompidou
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Souverains et personnalités politiques[modifier | modifier le code]
- Louis IX (dit saint Louis), roi de France.
- Philippe d'Orléans, né en 1336 à Vincennes.
- Jeanne de Bourbon est née à Vincennes en 1337.
- Louis Ier, roi de Naples, né à Vincennes en 1339.
- Charles V de France, né à Vincennes en 1338.
- Isabelle de France, née à Vincennes en 1348.
- Henri V d'Angleterre, roi d'Angleterre et vainqueur à Azincourt, meurt de dysenterie le .
- Charles IX de France, mort au château de Vincennes le .
- Antoine de L'Age (1602-1635), seigneur français mort à Vincennes.
- François de Vendôme, duc de Beaufort, s'évada du château de Vincennes en 1648.
- D'Artagnan, mousquetaire, geôlier de Nicolas Fouquet au donjon de Vincennes en 1662.
- Marie-Anne de Bourbon, née à Vincennes en 1666.
- Jean Henri de La Tude, (1725-1805), réussit trois évasions, dont une du donjon du château de Vincennes en 1750 par un passage souterrain creusé à l'aide d'une cuiller en bois (qui était encore exposée à Vincennes dans les années 1970), et une de la forteresse de la Bastille à l'aide d'une échelle de corde et de bois, qu'il récupère à la prise de la Bastille, et qui est visible au musée Carnavalet.
- Jules Mazarin, (1602-1661), sa dépouille se trouva inhumée à la Sainte-Chapelle du château de Vincennes durant presque dix ans.
- Le général Pierre Daumesnil, gouverneur du château de Vincennes.
- Louis Antoine de Bourbon-Condé, duc d'Enghien, exécuté à Vincennes sur ordre de Napoléon.
- Pierre Messmer (1916-2007), homme politique et ancien Premier ministre français, né à Vincennes.
- Jerôme Lambert (1957), homme politique français né à Vincennes.
- Laurence Dumont (1958), femme politique, vice-présidente de l’Assemblée nationale, née à Vincennes.
Personnalités du monde culturel[modifier | modifier le code]
- Mata Hari, danseuse, reconnue coupable d'intelligence avec l'ennemi en temps de guerre après avoir été accusée d'espionnage au profit de l'Allemagne ; elle est fusillée le 15 octobre 1917 près de la forteresse de Vincennes, au pied de la butte du polygone de tir, lieu habituel des exécutions militaires[38].
- Diderot (1713-1784), encyclopédiste, emprisonné 3 mois à Vincennes en 1749.
- Le marquis de Sade (1740-1814), emprisonné à Vincennes, qui totalisera 12 ans de captivité entre Vincennes et la Bastille, libéré en 1790 par l'abolition des lettres de cachet.
- Numa (1800-1869), acteur né à Vincennes.
- Claire de Chandeneux (1836-1881), femme de lettres décédée à Vincennes.
- Charles Pathé (1863-1957) a installé ses studios de cinéma à Vincennes (le site sera ensuite utilisé pour la fabrication de pellicules cinématographiques par l'usine Kodak-Pathé).
- Paul Edouard Rosset-Granger (1853-1934), artiste peintre né à Vincennes.
- Jacques Bainville (1879-1936), journaliste et chroniqueur de politique étrangère.
- André Hardellet (1911-1974), écrivain, né à Vincennes.
- Laurent Joffrin (1952), journaliste français né à Vincennes.
- Jacqueline Pavlowsky (1921-1971), artiste peintre née à Vincennes (1921-1971).
- Jean Rochefort (1930), comédien français.
- Serge Le Tendre (1946), scénariste de bandes dessinées, est né à Vincennes en 1946.
- Robert Castel (1933), acteur français.
- Bernard Boulitreau, dit Bernar (1957-2006), caricaturiste et dessinateur de presse français.
- Thierry Blondeau (1961), compositeur né à Vincennes.
- Roger Capron (1922-2006), céramiste né à Vincennes.
- Daniel Badani (1914-2006), architecte né à Vincennes.
- Michel Droit (1923-2000), homme de lettres né à Vincennes.
- Jean Vaissade (1911-1979), accordéoniste, mort à Vincennes.
- Jean-Pierre Miquel (1937-2003), metteur en scène, mort à Vincennes.
Personnalités du monde sportif[modifier | modifier le code]
- Tony Parker, élève à l'INSEP ainsi qu'au lycée Hector Berlioz à Vincennes.
- Lucie Décosse, élève à l'INSEP ainsi qu'au lycée Hector Berlioz à Vincennes.
- Nicolas Pousset, hockeyeur né à Vincennes.
- Jérémy Taravel, footballeur français né à Vincennes.
- Yann Dobo, footballeur français né à Vincennes.
Autres personnalités[modifier | modifier le code]
- Michel Tognini, spationaute français né à Vincennes.
- Jean Bringer (1916-1944), chef départemental des FFI de l'Aude né à Vincennes.
- Clem Sohn, parachutiste américain mort à Vincennes en 1937.
- Marcel Deprez (1843-1918), ingénieur français ayant essentiellement travaillé sur l'électricité, mort à Vincennes.
Héraldique, drapeau et devise[modifier | modifier le code]
Blason[modifier | modifier le code]
Le blason et la devise de Vincennes ont été choisis par décision du conseil municipal du .
De gueules au château d'argent donjonné et crénelé, posé sur un chemin de ronde aussi crénelé, flanqué à dextre et à senestre d'une échauguette, le tout posé sur une risberme, d'argent maçonné et ajouré de sable, accompagné en pointe de trois boulets mal ordonnés aussi d'argent; au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or. |
C'est l'héraldiste vincennois Robert Louis, qui réalisa les traits et les coloris de ces armoiries. Le meuble principal du blason est la silhouette stylisée du château. Le semé de lis qui orne le chef du blason rappelle les armes de France que portait Saint-Louis. Les trois boulets évoquent le souvenir de l'héroïque défense du château par Daumesnil en 1814, et sont également le rappel de l'école d'application d'artillerie. Le bois de Vincennes est concrétisé par les deux branches de chêne qui soutiennent le blason. Le souvenir de Saint-Louis rendant la justice sous un chêne est évoqué par le sceptre et la main de justice qui figurent sur son sceau de Majesté.
Drapeau[modifier | modifier le code]
Créé en 2007 à l'occasion de l'Année du château et de la réouverture du donjon au public, le drapeau reprend les éléments du blason. Le chef des armoiries occupe la place à la hampe, tandis que la silhouette du donjon et des trois boulets s'imposent sur le champ rouge du battant. Il a été dessiné par Olivier Touzeau.
Devise[modifier | modifier le code]
La devise de la ville est : Liliis Justitia Lapidibus Fama, ce qui peut se traduire par : la justice par les lis, la renommée par les pierres. Cette devise fait allusion à la fois au blason et à l'histoire de Vincennes.
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
- Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et aux années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
Références[modifier | modifier le code]
Insee[modifier | modifier le code]
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 - Emploi et activité.
- CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
- DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
- DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
Autres références[modifier | modifier le code]
- « Orthodromie entre "Vincennes" et "Paris" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le 27 juin 2013).
- Répertoire géographique des communes, Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- http://www.vincennes.fr/Cadre-de-vie/Urbanisme/Projet-de-ville/Projet-de-ville-les-travaux-en-cours
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 1, p. 229, [lire en ligne]
- Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et ds libertés (consulté le 27 juin 2013).
- Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
- Jacques Paquier, « Laurent Lafon – « Grand Paris : Ne brûlons pas les étapes » : Laurent Lafon, maire (UDI) de Vincennes et président de l’Association des collectivités territoriales de l’Est parisien (Actep), explique pourquoi il considère que la construction métropolitaine ne peut s’affranchir d’une montée en charge progressive », Le journal du Grand Paris, (lire en ligne).
- C.N., « Oubliez le T10, nommez-le Paris-Est-Marne et Bois », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- Décret n° 2015-1663 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Champigny-sur-Marne sur Légifrance
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Antoine Quinson », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale
- « Le maire de Vvincennes démissionne », Les Échos, (lire en ligne).
- « Décès de Jean Clouet, l'ancien maire de Vincennes », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- Jacques-Franck Degioanni, « Patrick Gérard démissionne de la mairie de Vincennes et du conseil régional », Le Moniteur, (lire en ligne).
- R.B., « Le maire jette l'éponge : Candidat aux législatives sous les couleurs de l'UDF, Patrick Gérard maire de Vincennes , a été nettement devancé par le candidat officiel de l'UMP et a annoncé qu'il abandonnait ses mandats », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- R.B., « Le MoDem cherche à sortir de l'isolement », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- « Vincennes : le maire officiellement candidat à sa succession », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- « Compte-rendu de la réunion du conseil municipal du 29 mars 2014 » [PDF], Ville de Vincennes (consulté le 16 avril 2016).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2008, 2011, 2013.
- « Val de Marne (94), Vincennes, écoles », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le 27 juin 2013).
- « Val de Marne (94), Vincennes, collèges », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le 27 juin 2013).
- « Val de Marne (94) > Vincennes > Lycée », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le 27 juin 2013).
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- « Page d'accueil », sur le site « Catholiques à Vincennes et Saint-Mandé » (consulté le 27 juin 2013).
- « Mosquée foyer de Vincennes », sur le portail musulman nouvelle génération (consulté le 27 juin 2013).
- « Temple de Vincennes », sur le site de l’Église protestante unie de France (consulté le 27 juin 2013).
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le 11 novembre 2012).
- http://www.vincennes.fr/Economie-commerce/Entreprises
- http://www.vincennes.fr/Cadre-de-vie/Espaces-verts
- http://www.cnvvf.fr/site/index.php?page=1&idpt=94 Palmarès du concours des villes et villages fleuris
- Frédéric Guelton, « Bolo-Mata », dans Luce Gaume (dir.) et Emmanuel Pénicaut (dir.), Le château de Vincennes. Une histoire militaire, Nicolas Chaudun, , 224 p. (ISBN 978-2350390598), p. 182.