Le Perreux-sur-Marne


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Le Perreux-sur-Marne | |||||||||||||||
La Marne, Le Perreux-sur-Marne. |
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Administration | |||||||||||||||
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Pays | ![]() |
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Région | Île-de-France | ||||||||||||||
Département | Val-de-Marne | ||||||||||||||
Arrondissement | Nogent-sur-Marne | ||||||||||||||
Canton | Nogent-sur-Marne | ||||||||||||||
Intercommunalité | Métropole du Grand Paris EPT Paris-Est-Marne et Bois |
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Maire Mandat |
Gilles Carrez (UMP) 2014-2020 |
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Code postal | 94170 | ||||||||||||||
Code commune | 94058 | ||||||||||||||
Démographie | |||||||||||||||
Gentilé | Perreuxiens | ||||||||||||||
Population municipale |
33 480 hab. (2013) | ||||||||||||||
Densité | 8 476 hab./km2 | ||||||||||||||
Géographie | |||||||||||||||
Coordonnées | 48° 50′ 32″ N 2° 30′ 13″ E / 48.8422222222, 2.5036111111148° 50′ 32″ Nord 2° 30′ 13″ Est / 48.8422222222, 2.50361111111 | ||||||||||||||
Altitude | Min. 35 m – Max. 70 m | ||||||||||||||
Superficie | 3,95 km2 | ||||||||||||||
Localisation | |||||||||||||||
Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France |
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Liens | |||||||||||||||
Site web | leperreux94.fr | ||||||||||||||
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Le Perreux-sur-Marne est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. Portant le surnom de « perle de l’Est parisien »[1], la commune s'étend le long des bords de la Marne. Ses habitants sont appelés les Perreuxiens.
Sommaire
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
La commune se situe à 12 kilomètres de Notre-Dame de Paris, et s’étend le long des bords de la Marne, dans l’Est parisien.
- Espace urbain : Grand bassin parisien
- Aire urbaine : Paris
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Climat[modifier | modifier le code]
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Voies routières[modifier | modifier le code]
Autoroutes A4 ou A86, ou encore RN 34.
Pistes cyclables[modifier | modifier le code]
Transports en commun[modifier | modifier le code]
RER E Gare de Nogent - Le Perreux ou RER A Gare du Val de Fontenay , Neuilly-Plaisance et Nogent sur Marne puis les autobus : 113, 114, 116, 120, 210 et 317.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]
Logement[modifier | modifier le code]
{{Le Perreux sur Marne présente 8% de logements sociaux sur son territoire. En 2014, la municipalité a dû payer une amende de 465000€ , ne respectant pas les 25% fixés par l'Etat. Cependant, des efforts sensibles ont été notés ces dernières annees. }}
Projets d'aménagements[modifier | modifier le code]
Toponymie[modifier | modifier le code]
Du latin Petrosa, nom donné au site par les moines de l'abbaye de Saint-Maur au XIIIe siècle, pour rappeler la nature pierreuse du sol.
Histoire[modifier | modifier le code]
Intimement lié à l'histoire de Nogent, le Perreux est un fief dépendant de l'abbaye de Saint-Maur dont un cartulaire mentionne pour la première fois l'existence en 1284. En 1492, les moines de ladite abbaye essaieront d'en récupérer les droits de haute, moyenne et basse justice. Jeanne Baston, femme de Jean l'Épervier saisit la justice. Les moines seront déboutés par le parlement de Paris en 1500.
Depuis le XIIIe siècle, un manoir est présent. Il est occupé par de nombreux seigneurs, bourgeois de Paris, marchands au XIV-XVe puis par des parlementaires et notaire et secrétaire du roi (famille L'Espervier) et enfin par une noblesse seconde (Anthonis, Deschiens de Ressons). Le manoir est remplacé par un château entre la fin du XVIIe et le début du XVIIIe siècle. Un second château est construit par Boullée, architecte du roi, pour Robert Millin.
En 1760, Robert Millin, écuyer, secrétaire du roi, maison et couronne de France, et receveur général des domaines du duc d'Orléans achète le domaine. Son fils, Jérôme-Robert sera en 1794 l'une des innombrables victimes de l'accusateur Fouquier-Tinville. Il tombera sous la guillotine en place publique, alors que son propre fils, Alexandre Millin, lieutenant général, se bat pour les armées de la république. Ce dernier et son frère se font restituer le domaine en triste état sous le Directoire, mais ne tardent pas à le revendre. Il faut dire à leur décharge que leur père avait déjà subi avant la Révolution de sérieux revers de fortune.
Le domaine est alors morcelé. Nicolas Louis François de Neufchâteau achète le château et le parc. Le reste des terres, possession des familles Pantigny et de Beaufranchet est converti en lotissements vers 1860 afin de tirer parti de l'expansion que connaît Nogent grâce à la construction de la ligne de chemin de fer Paris-Mulhouse. Commencés dès 1854, les travaux nécessitent la construction d'un viaduc. La frontière est née, Le Perreux va prendre son essor. Vers 1886, le nombre d'habitants du quartier du Perreux est aussi important que celui du vieux bourg de Nogent. La guerre entre les deux quartiers est menée par un adjoint au maire de Nogent : Henri Lhopital-Navarre. Le 28 février 1887, la rupture est consommée, Navarre devient le premier maire du Perreux.
La crue de 1910[modifier | modifier le code]
Lors des inondations de janvier 1910, la passerelle de Bry, à la hauteur de l'église, résista. Une échelle hydrométrique est gravée sur la culée de rive droite, jusqu'à la cote de 38 m 30, soit 37 m 30 aujourd'hui ; c'est-à-dire 37 m 30 au-dessus du zéro officiel établi à la fin du XIXe siècle, pour les cartes terrestres françaises. Le zéro étant le niveau moyen des marées au marégraphe de la Corniche de Marseille.
Finalement, le niveau de l'eau se stabilisa le 27 janvier, et le nilomètre indiquait 39 m 07 (au pont de Bry, 39 m 26 à la passerelle), soit plus de 5 m au-dessus du lit habituel de la Marne. Le record de 1784 (39 m 83) ne fut pas battu, mais le quart de la commune se trouvait sous les eaux.
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La Marne au pont de Bry en janvier 1910 (4).
En effet, durant plusieurs semaines, des quartiers anciens et nouvellement urbanisés, restèrent les pieds dans l'eau. Avec le développement de la ligne de chemin de fer Paris-Bastille, et l'ouverture de la gare de Nogent-sur-Marne, la commune du Perreux détachée de Nogent depuis 1887, connut un engouement certain de la part des Parisiens relativement aisés qui souhaitaient s'installer à la campagne, au moment des beaux jours. Ainsi, ils firent construire pavillons et villas, sur des terrains encore libres, mais inondables, notamment dans la partie sud, où les espaces étaient disponibles et proches de la gare.
Cette crue exceptionnelle de plusieurs semaines, en isolant encore un peu plus ces habitations, ne découragea pas les pillards, bien au contraire. La municipalité dut faire appel à des détachements de zouaves stationnés au fort de Nogent, pour maintenir un semblant de sécurité, alors que la neige tombait dans la région.
La présence dissuasive de ces militaires, équipés de leur chassepot, n'empêcha pas le vol de métaux. Il faudra pratiquement attendre la fin du mois de février, pour que la Marne retrouve son lit.
Aujourd'hui, de grands aménagements, tel le barrage-réservoir « Seine » près de Troyes, ou encore celui de « Marne » près de Saint-Dizier, doivent minimiser l'effet de ces crues centennales[2]. Voir également les bases de données nationales du ministère de la Culture : Mérimée pour l'architecture, Palissy pour les objets mobilier et Mémoire pour l'iconographie[3].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[4], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d'un transfert administratif effectif le .
La commune constituait le canton du Perreux-sur-Marne, créé lors de la constitution du Val-de-Marne. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Nogent-sur-Marne.
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Les communes de Nogent-sur-Marne et du Perreux-sur-Marne ont créé 2000 la Communauté d'agglomération de la Vallée de la Marne CAVM), qui ne comptait que ces deux villes.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[5].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées
La commune fait donc également partie depuis le de l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[6] créé par un décret du 11 décembre 2015[7].
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Administration municipale[modifier | modifier le code]
Pour les échéances électorales de 2007, Le Perreux-sur-Marne fait partie des 82 communes[8] de plus de 3500 habitants ayant utilisé les machines à voter. Néanmoins, devant les longs temps d'attente engendrés par ce système, le maire Gilles Carrez a décidé de revenir au vote traditionnel dès le second tour.
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Politique environnementale[modifier | modifier le code]
Jumelages[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
En 2013, la commune comptait 33 480 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1891. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de plus de 10 000 habitants ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[Note 1],[Note 2].
Enseignement[modifier | modifier le code]
Le Perreux-sur-marne est située dans l'académie de Créteil.
Établissements scolaires[modifier | modifier le code]
La commune administre 5 écoles maternelles et 3 écoles élémentaires communales.
Le département gère deux collèges et la région Île-de-France un lycées : De Lattre de Tassigny, Pierre Brossolette et Paul Doumer
Vie universitaire[modifier | modifier le code]
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
Un festival de musique et de littérature, le « Festival Notes d'Automne », se tient tous les hivers depuis 2009[17].
Fête et Course de la Rentrée début Septembre[modifier | modifier le code]
La Fête de la Rentrée conserve quelques liens avec la Marne. A l'instar de la Fête du Petit Vin Blanc de Nogent-sur-Marne, elle réunissait plusieurs fanfares venues d'Allemagne[18].
La Course de la Rentrée, est organisée par le Comité des Fêtes depuis 1981[19].
Santé[modifier | modifier le code]
Sports[modifier | modifier le code]
- Le Perreux possède un club de football jouant en District : AS Le Perreux - Francilienne 94.
- Le Perreux possède deux clubs de tennis : ALP créé en 1876, et le TCP. Henri Leconte y a tapé ses premières balles.
- Le Perreux possède un club d'aviron, La SNP, la société nautique du Perreux
Médias[modifier | modifier le code]
Cultes[modifier | modifier le code]
Économie[modifier | modifier le code]
Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]
Selon un classement effectué par le magazine l'Express et regroupant les villes les plus riches de France, le Perreux se range à la 241e place sur près de 8500 villes françaises de plus de 1000 habitants. En 2006, toujours dans le même classement, mais sur la base du critère de l'Impôt de solidarité sur la fortune (ISF), le Perreux apparaît en 28e position sur 401 communes métropolitaines de plus de 20 000 habitants. Ce dernier classement a été opéré à partir du nombre de redevables de l'ISF, en 2006, pour 1 000 habitants.
Emploi[modifier | modifier le code]
Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Château (vestiges), XVIe ‑ XVIIIe siècles
- Église Saint-Jean-Baptiste de style roman, architecte Allary 1889 , maître-hôtel surmonté d'une fresque, "Les anges adorant le Seigneur", réalisée en 1924 par le peintre Deteix. Les fonts baptismaux du XIIe siècle proviennent de l'ancienne église de Noisy-le-Grand
- Plusieurs maisons Art nouveau, architecte : Nachbaur, XXe siècle
- Maison, Art moderne, architecte : Tissoire, 1926-1939
- Immeuble avec bow-windows, architecte : Léon Houdin, 1913
- Immeuble avec bow-windows, architecte : Georges Malo, 1903
Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]
C'est dans cette ville que Henri Boursault a inventé le fromage Délice de Saint-Cyr, aussi appelé Boursault[20].
Une bibliothèque existait dans les locaux de la mairie depuis 1887. Une médiathèque a été créée en 1982, et rénovée en 2004. L'établissement rassemble 100 000 documents[21].
Le Centre des bords de Marne[22], équipement à vocation artistique et culturelle a été construit en 1980. Depuis 1991, le projet artistique développé par l'équipe du CdbM (25 permanents) est conçu autour du spectacle vivant, du cinéma et de la photographie, avec une attention particulière pour la création contemporaine. Entre 2010 et 2012, les façades du CDBM ont été rénovées afin de les rendre plus esthétiques et pour réduire la consommation d'énergie[23].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Hortense Bégard (1855-1930), bijoutier-joaillier-orfèvre (épouse du peintre Pierre Ucciani), demeura chez son père Pierre Bégard, 187 avenue de Brie[24],[25],[26].
- Valéry Müller (1873-1917), peintre et journaliste, résidant et mort dans cette ville.
- Ernst Friedrich (1894-1967), militant pacifiste anarchiste allemand, mort au Perreux.
- René Magritte (1898-1967), peintre surréaliste, a vécu au Perreux d'août 1927 à juillet 1930.
- Germaine Sablon (1899-1985), actrice, chanteuse, et résistante française, née au Perreux, sœur de Jean Sablon.
- André Hornez (1905-1989), scénariste et parolier français mort au Perreux.
- Jean-Claude Forest (1930-1998), auteur de bandes dessinées né au Perreux.
- Patrice Duhamel (1945-), journaliste, a grandi au Perreux.
- Gilles Carrez (1948-), maire du Perreux depuis le 14 avril 1992.
- Jean-Paul Alègre (1951-), auteur dramatique et président de la commission théâtre de la SACD, né au Perreux.
- Emmanuel Berland (1957-), poète, a grandi au Perreux.
- Philippe Lioret (1957-), réalisateur et scénariste, vit au Perreux.
- Pascal Amoyel (1971-), pianiste, compositeur et directeur artistique du Festival Notes d'Automne au Perreux-sur-Marne
- La famille Fratellini, famille d'artistes de cirque.
Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]
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Les armes du Perreux-sur-Marne se blasonnent ainsi : Écartelé: au 1er, de gueules, au cor lié d'argent au chef cousu d'azur chargé de deux fleurs de lis d'or; au 2e, de sable à trois étoiles d'or en fasce, surmontées d'une couronne de baron au naturel; au 3e, d'azur, au viaduc à trois arches, le tout d'argent; au 4e, de gueules, avec une chaîne de quatre anneaux, dont deux rompus au milieu.[27]. L'écu est encadré de deux branches de chêne liées d'argent en pointe Sa devise est : Résistance vault plus que force. |
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- France Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France Commission régionale Île-de-France, Nogent et Le Perreux : l’eldorado en bord de Marne : Inventaire général du patrimoine culturel, [région] Île-de-France, texte d’Isabelle Duhau avec la participation de Laurence de Finance, photographies de Stéphane Asseline et Laurent Kruszyk, avec la participation de Christian Décamps, [sous la direction de Dominique Hervier], Paris, APPIF, 2005, 144 pages, 30 cm, ISBN 2-905913-44-4
- Michel Giraud, Le Perreux-sur-Marne, cent ans d'histoire, 1987 (édition spéciale du Centenaire)
- Michel Riousset, De Lagny à Charenton, les bords de Marne, du Second Empire à nos jours, 1985, éditions Amatteis
- Pierre Champion, Alexandre Salabert, Le Perreux-sur-Marne, notice historique, Le Perreux-sur-Marne, 1937.
- Jean-François Holvas, Seigneurie, seigneurs et château du Perreux, Le Perreux-sur-Marne, 1998.
- Jean-François Holvas, Patrimoine du Perreux, Le Mée-sur-Seine, 1999.
- Jean-François Holvas, Vincent Villette, Nogent-Le Perreux l’unité retrouvée, Le Perreux-sur-Marne, 2002.
- Jean-François Holvas, Bateaux, trains et tramways : transports au Perreux XIIIe-XXIe siècles, Le Perreux-sur-Marne, 2002.
- Jean-François Holvas, « Du manoir au château : l’exemple du Perreux » in Nobles et bourgeois aux champs, élites dans le Val-de-Marne aux XVIIe-XVIIIe siècles, 1er colloque historique des bords de Marne, p. 76-86, Le Perreux-sur-Marne, 2003.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
- Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et aux années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références[modifier | modifier le code]
- http://festivalnotesdautomne.fr/rubrique-cachee/festival/le-perreux-sur-marne-ville-d/article/nouvel-article-33
- Isabelle Duhau, Stéphane Asseline (photographe) et Laurent Kruszyk (photographe), Nogent et Le Perreux - L'Eldorado en bord de Marne, Lyon, Lieux Dits éditions, coll. « Images du Patrimoine » (no 237), , 144 p. (ISBN 2-905913-44-4, présentation en ligne).
- http://www.culture.gouv.fr/culture/inventai/patrimoine/
- Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
- Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
- C.N., « Oubliez le T10, nommez-le Paris-Est-Marne et Bois », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- Décret n° 2015-1663 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Champigny-sur-Marne sur Légifrance
- La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
- « Les maires de Perreux-sur-Marne (Le) », sur http://www.francegenweb.org (consulté le 16 avril 2016).
- « Michel Giraud est mort : L'ancien maire RPR du Perreux, considéré comme le père de la région Ile-de-France, est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi. Hier, les réactions d'émotion étaient nombreuses », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- F. D., « Gilles Carrez ne sera pas le candidat des Républicains », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- « Un tiers des vice-présidences revient au 94 », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- E. S-H., « Municipales au Perreux : indéboulonnable Gilles Carrez », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- « La gestion de Gilles Carrez saluée », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2008, 2011, 2013.
- Site officiel du Festival Notes d'Automne
- http://www.culture-guinguette.com/loisirs.htm
- http://www.leperreux94.fr/Course-de-la-Rentree-35e-edition
- Pierre Androuët, Le dictionnaire des fromages du monde, Le Cherche midi (ISBN 9782749100401), p. 60
- Site de la médiathèque du Perreux-sur-Marne.
- Site officiel du Centre des bords de Marne.
- Mairie du Perreux « Réhabilitation des façades du Centre des bords de Marne ».
- "Pays d'Auge", Septembre/Octobre 2012, 62e année, no 5 (ISSN 1149-3305)
- « Hortense Bégard, fabricant bijoutier, 22 rue Michel-le-Comte, 75 Paris », 11 novembre 1896 au 23 juin 1905
- « Bégard H. (& Cie), fabricant bijoutier, 22 rue Michel-le-Comte, 75 Paris », 15 juin 1905 au 8 février 1911
- Banque du Blason