Choisy-le-Roi

Choisy-le-Roi | |||||||||||||||
Ancienne mairie de Choisy-le-Roi. |
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![]() Blason |
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Administration | |||||||||||||||
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Pays | ![]() |
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Région | Île-de-France | ||||||||||||||
Département | Val-de-Marne | ||||||||||||||
Arrondissement | Créteil | ||||||||||||||
Canton | Choisy-le-Roi (chef-lieu) | ||||||||||||||
Intercommunalité | métropole du Grand Paris | ||||||||||||||
Maire Mandat |
Didier Guillaume (PCF) 2014-2020 |
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Code postal | 94600 | ||||||||||||||
Code commune | 94022 | ||||||||||||||
Démographie | |||||||||||||||
Gentilé | Choisyens | ||||||||||||||
Population municipale |
42 769 hab. (2013) | ||||||||||||||
Densité | 7 876 hab./km2 | ||||||||||||||
Géographie | |||||||||||||||
Coordonnées | 48° 45′ 59″ N 2° 24′ 28″ E / 48.766389, 2.40777848° 45′ 59″ Nord 2° 24′ 28″ Est / 48.766389, 2.407778 | ||||||||||||||
Altitude | Min. 31 m – Max. 49 m | ||||||||||||||
Superficie | 5,43 km2 | ||||||||||||||
Localisation | |||||||||||||||
Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France |
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Liens | |||||||||||||||
Site web | choisyleroi.fr | ||||||||||||||
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Choisy-le-Roi est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Choisyens.
Sommaire
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
À 12 km de Notre-Dame de Paris et à 7 km de la Porte de Choisy, Choisy-le-Roi est avec la capitale la seule commune de la petite couronne à s'étendre de part et d'autre de la Seine[1].
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes : Alfortville au nord-est, Créteil à l'est, Valenton et Villeneuve-Saint-Georges au sud-est, Orly au sud-ouest, Thiais à l'ouest, Vitry-sur-Seine au nord-ouest.
Relief, géologie et hydrographie[modifier | modifier le code]
Climat[modifier | modifier le code]
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
La commune de Choisy-le-Roi est un nœud de communication majeur ; elle est desservie par une gare et la gare de Paris-Bibliothèque Mitterrand se trouve à 7 min, elle est un carrefour routier important :
Choisy-le-Roi, gare historique (la 5e d'Île-de-France en termes de fréquentation), à 7 min de gare de la Bibliothèque François Mitterrand, 10 min de la gare d'Austerlitz, 14 min de la gare Saint-Michel - Notre-Dame.
3 grands axes routiers parisiens desservent aussi la commune :
Les transports en commun routiers y sont aussi bien représentés :
RATP TVM 103 182 183 185 393 ;
- Choisy Bus : Service municipal de transport urbain avec des départs toutes les heures ;
- Une piste cyclable longeant la Seine relie Choisy-le-Roi à Paris.
- Keolis Seine Val-de-Marne : Bus OPTILE de Choisy-le-Roi (RER C) vers Villeneuve-Saint-Georges (RER D).
- la ligne 9 de tramway qui sera à l’arrêt rouget de Lisle en 2020.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]
Logement[modifier | modifier le code]
Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]
Toponymie[modifier | modifier le code]
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Le nom Choisy vient de Sosiacum, terre ou villa de Sosius.
Aux VIIIe siècle et IXe siècle, Choisy est appelée Cauciacum ou Causiacum.
En 1739, Louis XV choisit ce domaine afin d'y pratiquer la chasse. C'est pour cela que l'on renomme la ville « Choisy-le-Roi ».
Histoire[modifier | modifier le code]
Choisy apparaîtrait pour la première fois dans l'histoire lorsque l'armée de César en 52 av. J.-C., conduite par le commandant Labienus, aurait livré bataille sur le territoire actuel de la commune[3]. Son nom viendrait de Sociacum, « villa de Soisus » ou de « Socius »[4].
Choisy n'est connu que depuis 1176, comme faisant partie de la seigneurie de Thiais, laquelle appartient à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés.
En 1207, Jean, abbé de Saint Germain des Prés, donna aux habitants de Choisy un fonds de terre pour y bâtir une chapelle, dédiée à Saint Nicolas, qui, en 1224, fut érigée en paroisse.
L'existence d'un bac sur la Seine est attestée dès la fin du XIIIe siècle.
Sous Louis XI en 1482, les seigneurs de Choisy, avaient droit de haute et basse justice.
En 1678, Anne-Marie-Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier, achète une maison et fait construire, en 1682, un château à Choisy dont l'architecture est de Jacques Gabriel et les sculptures d'extérieur de Étienne Le Hongre. Choisy devient alors Choisy-Mademoiselle. Elle fait reconstruire le chœur de l'église et réparer la nef. Le bourg se situe alors uniquement en bord de Seine. À sa mort, en 1693, le Grand Dauphin, fils de Louis XIV, hérita de cette terre, qu’il échangea avec Madame de Louvois contre la seigneurie et le Château de Meudon.
La population se développe tout au long du XVIIIe siècle. En 1738, une liaison fluviale Paris-Moret, autorisée par Michel-Étienne Turgot, prévôt des marchands de Paris, dessert Choisy deux fois par semaine.
Le château appartient alors à la princesse douairière de Conti, fille légitimée de Louis XIV et de la duchesse de La Vallière. Peut-être en hommage à la princesse son élève, François Couperin cite Choisy dans une page pour 2 clavecins de son Troisième Livre (1722), une musette tendre et champêtre.
En 1739, à la mort de la princesse, Louis XV fait l'acquisition du château pour disposer d'une résidence à proximité de la forêt de Sénart où il va chasser et décide que le village sera nommé désormais Choisy-le-Roi. La paroisse tire un gros avantage de la présence du roi, qui fait agrandir l'ancien château et le prolonge par des constructions neuves. Madame de Pompadour y est installée en 1746 : les fêtes s'y multiplient. Ainsi, le roi Louis XV, avec la participation de la marquise de Pompadour, y organise à partir de 1750 des soupers fins où seuls les intimes du roi, et quelques courtisans, sont invités à partager un repas respectant un service à la française : poissons de mer et de rivière, gibiers à plume et à poil, blanquette de veau, bœuf, légumes verts, fruits, glaces y sont servis avec profusion et délicatesse dans la porcelaine de Sèvres créée sous l'impulsion de la marquise de Pompadour. Une partie des menus de ces repas gastronomiques a été conservée par la Bibliothèque nationale de France, et étudiée par des historiens de l'alimentation. De 1775 à 1780, Marie-Antoinette y organise des amusements de toutes sortes[5].
Pour remplacer le vieux village partiellement englobé dans ces transformations, et pour faire de Choisy une véritable résidence royale, un nouveau village est projeté dès 1746. Dessiné sur une trame orthogonale, il est situé entre le chemin de Paris (devenu depuis rue de Vitry) et l'avenue de Paris. Les terrains, de grandeur raisonnable, et les moellons de meulière sont donnés aux habitants par Louis XV, en priorité aux habitants du vieux bourg ainsi qu'à ceux liés au domaine royal par leur fonction. Les actuelles rues Louise-Michel, Georges-Clemenceau, Auguste-Franchot et Auguste-Blanqui datent de cette époque.
Une nouvelle église paroissiale et royale, dédiée à Saint-Louis et Saint Nicolas, est élevée de 1748 à 1760. Son clocher est moins élevé que le comble, à cause de l'aversion que Louis XV avait pour le son des cloches[6]. La vieille église est démolie en 1759.
De 1748 à 1757 est percée la route royale de Versailles qui permet en faisant des fouilles d'y trouver des tombeaux antiques..
En 1750, la route de Choisy à Paris est pavée et le pont sur la Seine est construit. Le presbytère est construit de 1763 à 1766.
Louis XV confirme sa présence à Choisy par l'acquisition en 1764 de la seigneurie de Thiais, Choisy et Grignon en partie, qu'il sépare en deux pour revendre celle de Thiais et Grignon. Peu à peu le champ des Étendoirs, situé au nord de l'avenue de Versailles, est également construit. Le port joue un rôle de relais entre le sud du bassin parisien et Versailles. Un marché hebdomadaire est instauré. Hormis les activités liées à la présence royale, l'agriculture est l'activité principale. La population s'accroît régulièrement depuis le début du XVIIIe siècle.
La Révolution a la même intensité à Choisy qu'à Paris, le maire de la ville entretenant des liens étroits avec Robespierre. Danton séjourne à Choisy tout comme Rouget de Lisle, l'auteur de La Marseillaise. Choisy-le-Roi porte le nom révolutionnaire de Choisy-sur-Seine et le domaine royal, dont il ne reste aujourd'hui que l'entrée, est vendu comme bien national et tombe doucement en ruine.
De 1790 à 1795 Choisy était un canton du district de Bourg-de-l'Égalité (Bourg-la-Reine).
À partir de 1809, le pont de Navier remplace enfin le bac. Au XIXe siècle, Choisy-le-Roi connaît un essor industriel avec l'implantation de la faïencerie Boulenger, de la tuilerie et de la cristallerie.
Un service d'omnibus en 1829 et une ligne de tramways en 1892 relient Choisy à Paris. 1840 voit l'arrivée du train à Choisy-le-Roi avec l'inauguration de la ligne Paris-Corbeil qui sera l'amorce de la ligne Paris-Orléans.
La ville subit de gros dégâts lors des combats franco-prussiens dans une tentative de libération de Paris le 30 septembre 1870.
La mairie, en expansion, achète en 1903 la maison de M. Lagoutte construite sous Napoléon III dans l'ancienne grande avant-cour du château. Le reste du parc est loti avec construction des écoles en 1910. Le lotissement du Nid Rouge s'étend à l'ouest de l'avenue de la République.
En 1912, Choisy-le-Roi revient sous les feux de l'actualité avec la fin tragique de Jules Bonnot.
De 1968 à 1973, Choisy-le-Roi accueille la délégation vietnamienne pour les négociations de Paris, originellement prévues pour quatre mois, dans le bâtiment qui fut, à l’époque, le siège de l’école centrale du Parti communiste français.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Administration municipale et territoriale[modifier | modifier le code]
La ville fait partie de l'association Seine-Amont développement depuis sa création en 2001[8], aux côtés des communes d'Alfortville, Ivry-sur-Seine, Vitry-sur-Seine et Orly[9]. À partir de janvier 2013, la ville fait partie de la communauté d'agglomération Seine Amont (CASA) aux côtés des communes de Vitry-sur-Seine et d'Ivry-sur-Seine, cette intercommunalité regroupant ainsi plus de 170 000 habitants[10].
Par décret du relatif à la Métropole du Grand Paris[11], Choisy-le-Roi intègre, à compter du , avec les deux autres villes de la CASA, l'établissement public territorial T12 et rejoint la métropole du Grand Paris.
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]
Politique environnementale[modifier | modifier le code]
Jumelages[modifier | modifier le code]
Dong Da (Viêt Nam) depuis 1973
Hennigsdorf (Allemagne) depuis 1968
Lugo (Italie) depuis 1968
Târnova (ro) (Roumanie) depuis 1998
Label Internet[modifier | modifier le code]
En 2010, la commune de Choisy-le-Roi a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[12].
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
En 2013, la commune comptait 42 769 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de plus de 10 000 habitants ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[Note 1],[Note 2].
Enseignement[modifier | modifier le code]
- École Paul-Langevin
- Collége Henri-Matisse
Manifestations et festivités[modifier | modifier le code]
Santé[modifier | modifier le code]
Sports[modifier | modifier le code]
La ville de Choisy-le-Roi est une ville historiquement tournée vers le sport, possédant de nombreuses infrastructures et disposant du parc interdépartemental des sports sur son territoire. Elle ne compte pas moins de 39 clubs et 28 disciplines sportives y sont pratiquées (football, tir, aviron...).[réf. nécessaire] Ces disciplines rassemblent près de 6 000 licenciés soit un habitant sur six. Parmi ces clubs ou associations sportives se trouvent :
- Sporting club des nageurs de Choisy le Roi (water-Polo et natation)
- AS Choisy-le-Roi
- Quartier libre
- Sporting club de Choisy-le-Roi (SCCR). Ce club dispose de plusieurs sections : handball, basket-ball, football (FSGT), badminton, tennis de table
- Déclic (association du quartier des navigateurs)
- Groupement amical des tireurs de Choisy le roi, Thiais et environs (GAT) - Tir sportif 10,25 et 50 mètres
- Les Loups Blancs : football américain
De plus, le siège de la Fédération française de volley-ball se trouve à Choisy-le-Roi.
Cultes[modifier | modifier le code]
Économie[modifier | modifier le code]
Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]
Emploi[modifier | modifier le code]
Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Église Saint-Louis et Saint-Nicolas : construite par Ange-Jacques Gabriel sur ordre de Louis XV pour remplacer l'ancienne église, trop petite et trop proche de la Seine. La nouvelle église devait être le centre du nouveau village projeté dès 1746. En 1748, Gabriel donne deux projets : le premier avec un ordre toscan à l'intérieur et à l'extérieur, le second, qui fut réalisé, sans cet ordre. L'absence d'ordre fait l'originalité de cette église, où la monumentalité sobre est atteinte par le travail des surfaces. La tour clocher est détachée à droite de la nef et ne comporte que deux niveaux (alors que le premier projet en avait prévu trois). De ce fait, les cloches, très basses, ne portent pas très loin, ce dont les villageois se plaignirent au XVIIIe siècle. L'anecdote selon laquelle Louis XV aurait interdit l'usage des cloches est sans fondement (seul le glas était prohibé lors des séjours royaux). L'intérieur de l'église abrite deux statues de Jacques Rousseau représentant Saint Louis et Saint Maurice (1729). Le cul-de-four et les chapelles latérales sont décorées de peintures de Jacques Pauthe (1878). Elle fut l'église cathédrale du diocèse de Créteil de 1966 à 1987, date à laquelle Notre-Dame de Créteil devint la nouvelle cathédrale.
- Du château de Choisy ne subsiste que l'entrée (saut-de-loup, fossé sec et deux pavillons de gardiens), qui a servi à la mise en scène de la mairie, dans un parc paysager de style Napoléon III, ainsi qu'une aile de communs (cité Anatole-France).
- Maison des Pages (13 boulevard des Alliés) : construite en 1792 pour François Courrejoles, remarquable par sa façade ornée d'un ordre colossal.
- Pavillon des Gardes.
- Maison et statue de Rouget de Lisle. Son monument a été inauguré le dimanche 6 juillet 1902 par Justin Germain Casimir de Selves.
- Ancienne gare : un des rares exemples conservés des gares de la compagnie des Chemins de fer d'Orléans, décorée de céramiques de Choisy-le-Roi (1875).
- Bords de Seine.
- Ferme pédagogique présentant de nombreux animaux et un parc de jeux pour enfants au quartier des Gondoles.
Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]
- Parc interdépartemental des sports
- Parc des Gondoles
- Parc de la Mairie
- Parc Maurice-Thorez
Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]
- Théâtre cinéma Paul Éluard
- Conservatoire des Arts regroupant les écoles de musique, de danse et d'arts plastiques
- Ensemble polyphonique de Choisy-le-Roi
- Compagnie La Rumeur, Usine Hollander
- Festival de Marne
- Festival Sons d'hiver
- Festival de l'Oh!
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Jacques Dutruy (1762-1836), général suisse, né à Genève, général des armées de la République et de l'Empire.
- Rouget de Lisle a vécu à Choisy-le-Roi et y est mort le .
- Hippolyte Boulenger, industriel de la céramique.
- La bande à Bonnot prend fin avec le siège de Bonnot à Choisy-le-Roi et sa mort en 1912.
- Marcel Cachin a vécu à Choisy-le-Roi et y est mort en 1958.
- Ipoustéguy ( - ), sculpteur dont l'atelier se situait quai des Gondoles.
- Antonio Ferrara, figure du grand banditisme français qui a passé son adolescence à Choisy-le-Roi.
- Olivier Kapo, footballeur français d'origine ivoirienne.
- Bénabar, chanteur, a vécu à Choisy-le-Roi.
Choisy-le-Roi est le lieu de naissance de :
- Emmanuel Chaptal (1861-1943), prélat catholique, évêque auxiliaire de Paris.
- Pierre Mille ( - 1941), écrivain et journaliste.
- Louise Bourgeois ( - ), artiste plasticienne.
- Suzanne Chaisemartin (1921) organiste concertiste.
- Pierre Naudin (1923-2011), écrivain.
- Mehdi El Glaoui ( -), acteur et réalisateur.
- Gérard Vives, acteur et animateur, né le 30 novembre 1962.
- Philippe Di Folco, écrivain et scénariste, né le 20 juin 1964.
- Demon One, rappeur du groupe Intouchable faisant partie du collectif Mafia K'1 Fry.
- Las Montana (1977-1999), rappeur du groupe Mafia K'1 Fry.
- David Erevantzi, peintre et sculpteur d'origine arménienne ayant notamment réalisé la statue de Komitas à Paris, en mémoire du génocide arménien et la statue de la paix dans le parc de Choisy.
- Pierre Lescure, journaliste et ancien dirigeant de Canal+
- Tonino Benacquista, auteur de romans policiers, né en 1961
Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]
Les armes de Choisy-le-Roi se blasonnent ainsi : De gueules au pont d'or, soutenu d'une rivière d'argent, accompagné en pointe de cinq annelets entrelacés d'or et surmonté d'un écu posé en abîme d'azur à trois fleurs de lys d'or, timbré de la couronne royale de France, la pointe de l'écu brochant sur le pont (création de Robert Louis) [15] |
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- État des communes à la fin du XIXe siècle, Choisy-le-Roi, 1902.
- Histoire de Choisy-le-Roi, Auguste Franchot, 1926.
- Choisy-le-Roi d'une rive à l'autre, Ville de Choisy-le-Roi, 2006.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site de la mairie
- Site de l'office de tourisme
- « Choisy-le-Roi aura sa cité moderne » [vidéo], sur ina.fr, Actualités françaises,
- http://www.epa-orsa.fr/
- Notices d'autorité : Fichier d'autorité international virtuel • Bibliothèque nationale de France • Système universitaire de documentation • Gemeinsame Normdatei
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
- Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et aux années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références[modifier | modifier le code]
- La Seine en amont de Paris. Région Île-de-France, service patrimoines et Inventaire.
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
- Cf l'article guerre des Gaules.
- Tristan Delamotte, « Le roi à Choisy », sur Le Parisien,
- Julien Lefour, La marée lors des soupers de Louis XV avec la marquise de Pompadour, in Elisabeth Ridel, Éric Barré, André Zysberg, sous la direction de, Les nourritures de la mer, de la criée à l'assiette, Actes du colloque, Centre de recherche d'histoire quantitative, Histoire maritime, N°4, Caen, 2007, 25 p.
- Dictionnaire historique des environs de Paris, docteur Ermete Pierotti
- Jean Robert, Les tramways parisiens, Jean Robert (réimpr. 3e édition 1992)
- L'association est dissoute en 2014.
- Historique sur le site de l'EPA-ORSA.
- « Intercommunalité », sur le site de la mairie de Vitry-sur-Seine (consulté le 18 avril 2013).
- Décret n° 2015-1665 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Vitry-sur-Seine.
- « Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association » (consulté le 18 décembre 2009)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2008, 2011, 2013.
- R. Louis, « Du blason au logo », Guide pratique - Choisy-le-Roi, no 2010/11,